Bikini Machine : Stop all jerk
S’écartant
quelque peu du second degré façon pop française 60s, le nouvel
opus de nos bikinis préférés tend désormais vers une sobriété
plus anglo-saxonne. Pour autant comme les membres le proclament si
bien, "on fait du vieux avec du neuf"… On en
redemande !
Frank
and Nancy Sinatra : Downtown
The
B52’s : Downtown
Oublions
la version originelle et légérement "cul-cul la praline",
et réhabilitons ces deux revisitations. Tendance Las Vegas et
élégance pour la première. Davantage Athens et psyché-rock pour
la seconde…
Marie
et les Garçons : Re Bop
Leur
album ressort, toujours orné d’un beau polo Lacoste, bleu layette.
C’est agréablement daté. A la question de savoir s’ils étaient
punk ou new-wave, ou simplement pop, à chacun de faire son choix. La
seule certitude, une certaine classe les animait… eux !
Will
Butler : Anna
Ou
quand le petit frère du leader d’Arcade Fire nous bricole un
premier album enthousiasmant, foutraque mais soigné. A suivre.
Interpol : Everything is wrong
Extrait de leur cinquième album (purée, déjà…).
Parfaitement dans la ligne de ce qu’ils ont pu faire, une espèce de pop dépressive
capable de saper le moral d’une grenouille un jour de pluie.
Dan Croll : From nowhere
Une belle découverte ! Ce que
fait ce Dan Croll me fait un peu penser à Metronomy. J’aime beaucoup !
Bien plus léger que le premier morceau que je te proposais, cher lecteur.
The Sweetest Ache : If I could shineUn p'tit Sarah records ? D’accord, mais c’est seulement parce que tu insistes !
Adorable : Crash sight
Welcome back in the 9Ts ! 4 ans
d’activité pour ce groupe contemporain des Chapterhouse, Slowdive et autres
shoegazers. Inégal mais
quelques belles mélodies.
Noel Gallagher’s High Flying Birdsv: You know we
can’t go back
Bon, voilà, rien à dire. Le
patron a fait un nouvel album. Voici un extrait du concert du Zénith. Sur Arte
Concert, on peut le voir en intégralité. A ne pas manquer ! A ne pas
manquer non plus, l’interview que le patron a donnée sur France 5, dans C à
vous, le 23 mars. A oublier l’interview pourrie qu’il a dû subir sur C+… Purée,
avant, de Caunes savait ce qu’il faisait, mais c’était avant. Bon, finalement,
j’avais plein de choses à dire.
Au moment où j’écris ces lignes,
je n’ai pas encore eu le temps d’écouter le dernier des "ennemis"
jurés des feux Oasis, je parle de Blur, bien sûr. J’espère juste que ce
come-back soit un coup de maître. J’avoue que je redoute un peu d’être déçu,
comme avec les Charlatans ou les Inspiral Carpets.
The Incredible Magpie Band : This chose me / Straight lines
Le premier morceau me fait furieusement penser à The Heavy. Le second, aux La's. Trois fois aux La's, même. Hmm, avouez que ça vous manquait, ces jeux de mots faciles. Leur premier album sort dans quelques jours. Que dire de plus ? Il y a plein de chauves dans le groupe, et j'apprécie particulièrement cet effort pour me plaire.
Blur : Lonesome street
Contrairement à Wally, j'ai écouté le tant attendu nouvel album de Blur. Pas leur meilleur, c'est sûr, mais il contient quelques jolies ritournelles, comme ce morceau. Et dans la foulée, j'en profite pour dire que, toujours contrairement à Wally, j'ai beaucoup aimé le dernier des Charlatans et encore plus celui des Inspiral Carpets.
Osaka Monaurail : (She's a) Riptide
"Saké to 'em, JB !" Telle doit être la devise de ces sautillants Japonais qui, à l'instar de Nino Ferrer, voudraient sûrement être noirs. Ils le méritent, en tout cas.
The Buzzcocks : What do I get
Bon, évidemment, ce n'est pas tout frais. Mais en matière d'efficacité, ils peuvent toujours s'aligner, les petits jeunes d'aujourd'hui aux carrières éphémères qui affolent les "réseaux sociaux"... Entre le buzz et les Buzzcocks, mon choix est fait.
Half Man Half Biscuit : Westward Ho ! Massive letdown
Décidément, le spectre diaphane et élégant de l'élève Moinet flottera à jamais sur la sélection musicale. C'est en effet lui qui m'a fait découvrir Half Man Half Biscuit il y a quelques années, avec le fantastique "National shite day". Et ce "Westward Ho !" est du même tonneau.
The Bohicas : Where you at
Allez, on finit avec, heu, le dernier des Bohicas. Leur nom est l'acronyme de "Bend over, here it comes again !" Rien de subtil, donc. Simplement une musique énergique et efficace. On est là pour ça, non ?
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